LE CHATIMENT
Encore cette humeur grise
Qui ne cesse de m'empoisonner
Qui ne cesse de me dilapider
Lorsque j'atteins le rocher
D'une soutane lactique
Je me décline en pensant au autres
Tandis que ma peine est une verture
Des ondes sismiques et anthologiques
Le chatiment!
Cette cabosse déterminante
Qui n'est nul autre que la résonance
D'une douleur subjugué
J'envisage le principe d'un créancier
Autrement dit je prendrai mon levier
Avec une douceur permanente
Avec une lueur attirante
Le chatiment!
Le vaisseau palpitant
M'embobine en tranchant
Comme un filament cominodé
De part l'action présidé
D'une ampleur divisé
Qui m'accroche aux heures compensés.
MOLAHA FOKAM DIMITRI,2017